Dès le début des années ’90, l'Union des artistes (UDA), motivée par l'atteinte d'une certaine autonomie financière des artistes québécois, fait jaillir l'idée de doter les secteurs des arts et de la culture de moyens de financement accessibles et d'outils de développement et de croissance, en harmonie avec leurs réalités.
Lors d'un congrès de ses membres, l'UDA met la table pour la création éventuelle d'un fonds pour les entreprises de la culture et des communications en soutenant la création de la Caisse de la culture.