Notre mission

  • 1
    Fournir un partenariat financier aux entreprises de création, de production, de distribution et de diffusion de produits et de services culturels et de communication.
  • 2
    Améliorer la structure financière des entreprises québécoises des domaines de la culture et des communications et ainsi contribuer à leur développement, à leur croissance, à leur rentabilité et à la présence d’une relève entrepreneuriale.
  • 3
    Favoriser la création d'emplois dans ces entreprises.

Historique du FICC

1990

Dès le début des années ’90, l'Union des artistes (UDA), motivée par l'atteinte d'une certaine autonomie financière des artistes québécois, fait jaillir l'idée de doter les secteurs des arts et de la culture de moyens de financement accessibles et d'outils de développement et de croissance, en harmonie avec leurs réalités.

Lors d'un congrès de ses membres, l'UDA met la table pour la création éventuelle d'un fonds pour les entreprises de la culture et des communications en soutenant la création de la Caisse de la culture.

1995

Au milieu des années ’90, l'UDA fait revivre son projet et invite la Guilde des musiciens et musiciennes du Québec et l'Union des écrivaines et des écrivains québécois à se joindre à sa démarche. Les événements font boule de neige et les premières ficelles de ce qui allait devenir le Fonds d'investissement de la culture et des communications (FICC) sont attachées dans le cadre du sommet économique de l'automne ’96 avec le premier ministre Monsieur Lucien Bouchard, le ministre des Finances Monsieur Bernard Landry, la Ministre de la culture et des communications Madame Louise Beaudoin et le président de l'Union des artistes Monsieur Serge Turgeon.

Par la suite, le Fonds de solidarité FTQ manifeste un intérêt marqué pour un véritable fonds destiné aux secteurs de la culture et des communications et devient le premier partenaire commanditaire avec un investissement de 10 millions de dollars. Le gouvernement du Québec, via la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC) lui emboîte le pas avec un investissement de 5 millions de dollars.

1997

En février 1997, le Fonds d'investissement de la culture et des communications démarre ses activités.

2001

En 2001 les commanditaires du FICC décident d'investir une somme additionnelle de 15 M $ soit 10 M $ de la part du Fonds de solidarité FTQ et 5 M $ de la part de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC). Suite à ce réinvestissement, la capitalisation du FICC est portée à 30 M $.

2011

Une troisième ronde d’investissement a eu lieu en décembre 2011 accueillant un troisième commanditaire, l’UDA pour un montant de 400 000 $. Le Fonds de solidarité FTQ et la SODEC ont participé à cette ronde à hauteur de 10M $. La capitalisation du FICC est actuellement de 40 400 000 $.

Ce qui nous caractérise

L'approche d'intervention du FICC se caractérise par:

  • un appui stratégique à la gestion des entreprises,
  • une mise à contribution de notre réseau d'experts dans les industries culturelles et des communications,
  • un financement adapté aux besoins des partenaires.
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Un apport financier structurant pour les entreprises culturelles et de communications

  • Le FICC utilise une structure d'investissement adaptée aux besoins des entreprises au moyen d’outils de financement incluant le prêt équité, le capital-actions et le prêt garanti.
  • Le FICC contribue à mettre au point un montage financier optimal pour l'entreprise partenaire en s'associant à l'occasion d'autres investisseurs reconnus qui misent sur son expertise des secteurs de la culture et des communications.
  • À titre de partenaire financier, le FICC peut siéger aux conseils d'administration ou aux différents comités de gestion des entreprises.
  • Le FICC fait bénéficier les entreprises de son expérience et de son réseau d'affaires.

Une expertise reconnue des secteurs de la culture et des communications

  • Le FICC investit des capitaux, mais aussi du savoir-faire, des ressources et de l'expérience issus des secteurs de la culture et des communications. Le FICC connaît les enjeux d'affaires, les réalités des secteurs qu’elle dessert de même que celles des entrepreneurs qui y évoluent.
  • Le FICC a une forte expertise d’affaires et son équipe est familière avec les règles de ses secteurs d’activités et les tendances de ses marchés.
  • Le FICC est en mesure d'aider les entrepreneurs de ces secteurs à relever les nombreux défis de gestion que pose la croissance d'une entreprise.
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